Week-end affligeant pour l’arbitrage africain !
Le but injustement refusé à la Libye Comme un symbole, le premier but de cette 2e journée des éliminatoires du Mondial 2018 a été refusé alors qu’il était bien valable. Le Libyen Saltou, qui avait battu Mathlouthi de la tête, n’était effectivement pas en position de hors-jeu pour reprendre l’excellent centre de Benali. Une erreur lourde de conséquences car la Tunisie a ensuite marqué pour l’emporter 1-0. A signaler aussi des hors-jeux signalés à tort par des assistants très moyens. Le penalty imaginaire contre le Sénégal Tout a été dit ou presque sur cette action et sur la prestation pitoyable de Joseph Lamptey, qui a offert l’ouverture du score à l’afrique du Sud en sifflant une main sénégalaise inexistante sur une action ne prêtant pourtant guère à confusion. Des hors-jeux signalés à tort également. Mais pourquoi diable la CAF a-t-elle attribué une telle rencontre à un arbitre affichant déjà un lourd passif ? La Fédération sénégalaise veut déposer un recours. Le Nigeria pas malheureux On chipote, on chipote, mais Obi Mikel était bien hors-jeu sur le 2e but du Nigeria contre l’algérie (3-1), comme l’intéressé et une bonne partie des joueurs l’ont d’ailleurs cru avant de voir que l’arbitre ne sifflait pas. Une erreur pardonnable cette action reste difficile à juger en temps réel.
Le Cameroun encore soupçonné Pas le scandale du week-end, mais le penalty de l’égalisation camerounaise contre la Zambie (1-1) fait débat sur les réseaux sociaux. Difficile en effet sans ralenti de près de voir si le défenseur zambien touche effectivement le ballon de la main en voulant tacler Aboubakar. Les 6 minutes de temps additionnel ont également fait jaser, beaucoup d’internautes soupçonnant le président de la CAF, Issa Hayatou, de favoriser son pays d’appartenance…
3 minutes en moins pour le Ghana Et comme il fallait que la série se poursuive ce dimanche, la fin de la première période du match entre l’egypte et le Ghana a donné lieu à une décision incompréhensible de la part d’eric Otogo-castane alors que les Pharaons venaient d’ouvrir le score. Non seulement, le Gabonais a refusé de rallonger le temps additionnel alors qu’el Hadary venait de passer de longs instants au sol, mais en plus l’officiel a sifflé la pause au bout de 2 minutes de temps additionnel au lieu des 3 prévues. De quoi révolter les Black Stars qui accuseront sans doute l’officiel d’avoir cédé à la pression du bouillant Borg El Arab Stadium…