«Il n’ira nulle part sans notre accord»
Moncef Khemakhem, suite aux rumeurs laissant entendre un éminent transfert de Rami Jridi au CA :
Il ne se passe pas un jour depuis le début de l’actuel mercato d’été sans que le gardien Rami Jridi soit annoncé partant pour le parc A. Mieux encore, selon des rumeurs colportées ces derniers jours par une partie de la presse et les sites web sportifs le gardien du CSS et de la sélection nationale se serait entretenu avec le président clubiste, Slim Riahi, et que les deux hommes auraient trouvé un terrain d’entente, en vertu duquel Rami Jridi devrait incessamment signer, si ce n’est pas déjà fait, un contrat avec le club de Bab Djedid, celui-ci étant en quête d’un gardien de valeur pour remplacer Farouk Ben Mustapha, passé au club saoudien Al Shabab. La clause libératoire, applicable uniquement en cas d’une offre étrangère Or et à voir les choses de près, Rami Jridi dont le bail avec CSS s’étale jusqu’au 30 juin 2018, n’est pas en mesure d(ici cette échéance, d’opter pour un club tunisien, sans le préalable accord de ses employeurs. Quant à la clause libératoire figurant dans son contrat, de l’ordre de 200 mille euros (soit 630mille dinars environ), elle n’est applicable qu’en cas d’une offre émanant d’un club étranger. Les choses sont par conséquent on ne peut plus claires et c’est, justement, en se référant à la particularité de la clause libératoire figurant dans le contrat de
Rami Jridi que le président du club « Noir et Blanc » est on ne peut plus catégorique en affirmant, à plusieurs reprises, que Rami Jridi « ne peut dans l’état actuel des choses opter pour un club tunisien sans notre accord. Mais, par contre, nous ne pouvons pas le retenir en cas d’une offre formulée par un club étranger qui accepterait de verser la somme stipulée par la clause libératoire du joueur »