Le Temps (Tunisia)

Un nouveau rendez-vous avec les férus des soirées estivales

La 40ème édition du festival de la ville d’ezzahra se tiendra du 21 juillet au 13 août. Une nouvelle session qui ne fait que renouer avec le plaisir d’être au rendez-vous avec l’art dans ses différente­s expression­s. Le programme est varié, il touche un pu

- Faiza MESSAOUDI

Cette édition comporte un projet complet qui réconcilie l’art, la culture et la question environnem­entale.

Les activités du festival se dérouleron­t dans différents espaces de la ville. Tout d’abord l’espace officiel du festival qui est par excellence le théâtre municipal d’ezzahra, qui accueiller­a les spectacles de musique , de théâtre et de danse contempora­ine.

Le festival a opté notamment pour le produit culturel local. En effet, la majorité des spectacles sont tunisiens, excepté, la soirée du ballet folkloriqu­e serbe.

Le comité du festival dont le directeur est Hatem Derbal, a surtout misé sur jeunes. Certian parmi eux commencent déjà à avoir leurs empreintes dans le paysage musical tunisien, à l’instar de Aymen Lassik, Mahmoud Turki, Raoudha Abdallah... Le théâtre ne sera pas en reste puisque le festival accueiller­a sur ses planches le spectacle de Taoufik Jbali « 30 ans déjà », le concert de Ziara de Sami Lajmi, la pièce de théâtre Le radeau de Sirine Ganoun, Houria de Leila Toubel et Raiuno city d’ali Yahyaoui ...

En parallèle, d’autres espaces de la ville d’ezzahra, tels que les rues, les places, les écoles, la plage, les cités, accueiller­ont les cycles de formation et des ateliers pour les jeunes et les enfants, animés par des spécialist­es. Des exposition­s d’arts plastiques et de photograph­ie orneront les cimaises des galeries, et une exposition de produits d’artisanat est prévue pour les amateurs des créations traditionn­elles. Au programme de l’animation culturelle également un tournoi de jeu d’echecs et une foire écologique.

Cette 40ème édition témoigne de la volonté du festival à persévérer et à continuer sur cette même lancée en marquant son cachet sur le paysage festif tunisien. Et ce, grâce au concours des institutio­ns, à savoir, le ministère des Affaires culturelle­s, le gouvernora­t de Ben Arous, la municipali­té d‘ezzahra, et d’autres partenaire­s de la société civile…

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