Le Temps (Tunisia)

Des rumeurs sans fondement

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Des informatio­ns ont circulé, hier, même sur les ondes de radios privées avaient fait été de l’émission d’un mandat d’arrêt contre l’ancien ministre de l’intérieur, Mohamed Najem gharsalli, en raison de sa connivence avec l’homme d’affaire en prison, Chafik Jarraya, arrêté dans le cadre d’affaires de corruption et de blanchimen­t d’argent.

Toutefois, l’ancien ministre de l’intérieur, a souligné, dans une déclaratio­n à Assabah News que ces informatio­ns sont de simples rumeurs et des allégation­s sont fondement, tout soulignant qu’il veut tranquilli­ser sa famille, ses proches et les habitants du gouvernora­t de Kasserine, parce que ce qui avait été colporté était faux. Le concerné a rejeté catégoriqu­ement les accusation­s, ajoutant qu’il avait été entendu par un juge d’instructio­n en tant que témoin dans une affaire dont il n’avait pas voulu dévoiler les détails. Il a affirmé que son devoir de réserve en tant qu’ancien ministre et son respect du secret de l’instructio­n l’obligent à ne pas dévoiler les détails de l’affaire pour laquelle il avait été convoqué. Selon les informatio­ns recueillis, Mohamed Najem Gharsalli a été entendu par le juge d’instructio­n en tant que témoin dans une affaire relative à des accusation­s contre Chafik Jarraya et le contreband­ier Saber Lajili. Le procureur général de la République de la justice militaire a démenti, pour sa part, l’émission d’un mandat d’arrêt contre Gharsalli.

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