Suite au clash entre Zahra et Mellouli, le CNOT réagit:
Création d'une commission d'enquête Gel des activités d'oussama Mellouli
Adel Zahri, membre du Comité national olympique, a présidé la délégation tunisienne qui a participé à la dernière édition des Jeux méditerranéens de Tarragona en Espagne. Oussama Mellouli se trouvait parmi les membres de cette même délégation officielle avec des attributions bien définies. Celles d’encadrer les athlètes tunisiens compte tenu de son brillant passé aux jeux olympiques et aux championnats du monde.
Le clash Zahra – Mellouli : qui croire ?
Sans entrer dans les détails, contentons-nous de rappeler qu’adel Zahra a « prétendu » avoir été victime d’une agression caractérisée commise par Oussama Mellouli sur les lieux de la compétition et plus grave encore sur le lieu de travail d’adel Zahra après le retour de la délégation au pays.
Accusations qu’oussama Mellouli a vigoureusement rejetées en bloc mais confirmées de nouveau par la victime.
Reste à savoir qui croire dans ce méli mélo entre deux personnalités du sport national choisies pour encadrer des athlètes, de retour à Tunis avec le maigre bilan que tout un chacun connaît. D’autant plus que Adel Zahra et Oussma Mellouli n’ont fait que confirmer leurs versions des faits.
Récidiviste notoire
Conscient de la gravité de la situation, le Comité national olympique a tenu en urgence une réunion qui a abouti à deux décisions : Création d’une commission chargée de faire la lumière sur ledit clash et gel temporaire des activités d’oussama Mellouli au sein de l’instance olympique tunisienne. Un gel qui vient confirmer, sans le déclarer de vive voix, que notre champion olympique a bel et bien agressé Adel Zahra.
Faut-il rappeler qu’oussama Mellouli est un habitué de ce genre de dépassement.
En effet, quand tout était permis avant le 11 janvier 2011, l’intéressé, accompagné de son proche entourage, s’est permis d’aller forcer la porte de la fédération tunisienne de natation dont le président d’alors (Maître Abdeljelil Dachraoui) a refusé de revoir à la hausse le montant du budget qui lui était alloué pour sa préparation. Une affaire restée sans suite acculant Me Dachraoui à mettre un terme à son mandat.