Le Temps (Tunisia)

Léo Rojas et l'art de communique­r

- Sarah BEN OMRANE

Le rendez-vous avec l'exclusivit­é est à Bizerte avec l'équatorien Léo Rojas. Les bizertins ont eu droit cette année à un nouveau genre de spectacle, avec une musique qui touche les profondeur­s de l'âme. Un nombre très respectabl­e de spectateur­s ont meublés l'amphithéât­re de Bizerte. Plusieurs d'entre eux sont venus spécialeme­nt de Tunis et d'autres villes proches pour assister à la soirée... Joueur de flûte de pan, Léo a su attiré les amateurs de son genre musical. Accompagné par d'autres instrument­s tels la batterie, la guitare et le piano, Léo enchainait des morceaux qui faisaient vibrer son public…

Déchaussé et avec un habit rappelant les forêts de Savane de l'amérique latine, Léo n'a pas cessé de bouger tout au long de la soirée. Telle une vraie bête de scène, Léo a tenue à peu près deux heures de spectacle avec toute l'énergie qu'il dégageait…

Les morceaux ont été interrompu­s avec les discours qu'il menait avec son public, répétant surtout qu'il aime la Tunisie et Bizerte ou «Biserta» comme il l'avait prononcé… Il était clair qu'il voulait profiter du moment pour interagir avec son public qui malgré la différence de culture était très réceptif à tous ses gestes et tous ses mots…

Le rendez-vous avec l’exclusivit­é est à Bizerte avec l’équatorien Léo Rojas. Les bizertins ont eu droit cette année à un nouveau genre de spectacle, avec une musique qui touche les profondeur­s de l’âme.

Un nombre très respectabl­e de spectateur­s ont meublés l’amphithéât­re de Bizerte. Plusieurs d’entre eux sont venus spécialeme­nt de Tunis et d’autres villes proches pour assister à la soirée... Joueur de flûte de pan, Léo a su attiré les amateurs de son genre musical. Accompagné par d’autres instrument­s tels la batterie, la guitare et le piano, Léo enchainait des morceaux qui faisaient vibrer son public…

Déchaussé et avec un habit rappelant les forêts de Savane de l’amérique latine, Léo n’a pas cessé de bouger tout au long de la soirée. Telle une vraie bête de scène, Léo a tenue à peu près deux heures de spectacle avec toute l’énergie qu’il dégageait…

Les morceaux ont été interrompu­s avec les discours qu’il menait avec son public, répétant surtout qu’il aime la Tunisie et Bizerte ou «Biserta» comme il l’avait prononcé… Il était clair qu’il voulait profiter du moment pour interagir avec son public qui malgré la différence de culture était très réceptif à tous ses gestes et tous ses mots… Certains, qui sont venus pour le découvrir n’ont pas trop apprécié ces moments de coupures, contrairem­ent

à ses Fans qui n’avaient pour lui aucun reproche…

Il faut dire que la sonorisati­on n’a pas joué en faveur de l’artiste dont la musique a ému un public élitiste et bien spécifique…

Pour plusieurs, le nom «Léo Rojas» ne dit absolument rien, mais ont surement écouté sur Youtub un jour sa reprise «The Lonely Shephered» qu’il l’a joué en 2011 au final du programme télé-crochet en Allemagne, un hit sorti en 1977 et jouait par Gheorghe Zamfir. Une musique qui t’emporte dans d’autres mondes, qui te fait rêver et vibrer en même temps, oubliant tout et vivant juste l’instant présent.

D’un artiste de rue à un artiste internatio­nal, Léo a su saisir sa chance et a pu créer une plateforme de Fans de toutes les tranches d’âge dans le monde entiers.

A 33 ans, Léo se trouve un artiste internatio­nal proprement dit, qui peut jouer un peu partout dans le monde sans avoir la contrainte de la langue, avec un langage universel, à savoir, la musique!

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