Le bloc de la «Coalition nationale» prend forme
Avec 40 membres et 10 demandes d'adhésion
Fraichement créé, le bloc de "la Coalition nationale" se réunira au début de la semaine prochaine pour la répartition des responsabilités au sein bloc, la définition d'une méthode de travail, se préparer aux journées parlementaires du groupe et l'examen des nouvelles demandes d'adhésion au groupe parlementaire.
Le bloc de la Coalition nationale a déposé, vendredi dernier, une demande signée par 40 députés pour former un nouveau bloc parlementaire, a déclaré hier à l'agence TAP le député et membre du bloc, Sahbi Ben Fraj.
Fraichement créé, le bloc de "la Coalition nationale" se réunira au début de la semaine prochaine pour la répartition des responsabilités au sein bloc, la définition d’une méthode de travail, se préparer aux journées parlementaires du groupe et l’examen des nouvelles demandes d’adhésion au groupe parlementaire.
Le bloc de la Coalition nationale a déposé, vendredi dernier, une demande signée par 40 députés pour former un nouveau bloc parlementaire, a déclaré hier à l’agence TAP le député et membre du bloc, Sahbi Ben Fraj.
Selon lui, 10 autres députés ont présenté des demandes individuelles d’adhésion dont des nouveaux députés démissionnaires du bloc parlementaire de Nidaa Tounes.
Prévues le week-end prochain, les journées parlementaires du bloc de la Coalition nationale vont permettre de passer en revue le programme d’action du bloc pour la nouvelle année parlementaire particulièrement au sujet des projets de loi soumis à l’assemblée des représentants du peuple (ARP), dont en premier lieu le projet de loi de finances pour l’exercice 2019, de la Cour constitutionnelle et de l’amendement de la loi électorale.
Un groupe de députés avait annoncé le 27 août 2018 la création d'un nouveau bloc parlementaire baptisé " Coalition nationale ". Composé au démarrage de 33 députés, le nouveau bloc parlementaire regroupe aujourd’hui 43 députés, selon le président du bloc, Mustapha Ben Ahmed.
Le bloc regroupe des indépendants, des démissionnaires de groupes parlementaires des mouvements Machrou Tounes et Nidaa Tounes ainsi que des députés du bloc de l'union patriotique libre.