Cap aujourd'hui sur Amman
Dans le cadre de son match retour des 32ième de la Coupe arabe des clubs champions, l’équipe sahélienne met le cap aujourd’hui (13h) sur la capitale jordanienne, Amman qu’elle atteindra après prés de quatre heures de vol. Mais le voyage des étoilés ne s’arrête pas à Amman, puisque ils devront effectuer par bus le trajet Amman-irbid (100 kms), ville située à l’extrême nord-ouest du royaume jordanien, ville où se déroulera la rencontre Ramtha SC-ESS, laquelle distante d’une trentaine de kms de Ramtha Ville (ville transfrontalière) mais qui vit au rythme de la guerre sévissant en Syrie. La délégation de l’etoile sera forte de 35 personnes entre joueurs, staffs et responsables administratifs.
Hannachi reste à Sousse Blessé et relevé lors de la dernière confrontation entre ESS – EST en ligue africaine des champions, le demi offensif de l’etoile, Maher Hannachi ne sera pas du voyage pour la Jordanie ; En effet, sa blessure ( au visage) nécessite un repos d’une semaine. Tout comme son coéquipier Amine Ben Amor non seulement blessé également mais non autorisé à jouer cette Coupe arabe tant il a fait partie de la liste communiquée par son ancien club de prêt Ahly Jeddah.
Une seule séance d’entrainement.
Dés leur arrivée sur le sol jordanien, les joueurs seront soumis à une petite séance de décrassage dans l’enceinte même de leur hôtel de résidence. Le staff technique a prévu une seule séance d’entrainement la veille du match. Celle-ci se déroulera sur la pelouse du stade où aura lieu le match Ramtha SC – ESS.
Retour le samedi
La délégation de L’ESS prendra le chemin du retour le samedi dans la journée pour atteindre le tarmac de l’aéroport Tunisie Carthage vers la fin de l’après-midi.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets Très critiqué après l’élimination de l’équipe de la Ligue Africaine des Champions, Chiheb Ellili, le coach étoilé est même désigné comme « seul et premier responsable » qui a précipité la sortie de L’ESS d’une compétition pour laquelle tout a été mis en oeuvre pour y parvenir. En effet, les choix à la fois tactiques et d’hommes du coach font encore l’objet d’âpres discussions dans la rue sportive sahélienne. Le public ne comprend pas comment un coach en l’espace de six jours, le coach commet les mêmes erreurs lors de cette double confrontation ? Absence de prise de risques à Sousse, absence de discernement dans la gestion du match, un coaching totalement inopérant voire irréaliste, manque de réalisme et d’efficacité, manque de personnalité pour gérer l’effectif , absence de vision claire quand au renouvellement de l’effectif actuel alors que les jeunes talents s’impatientent pour prendre la relève. Mais que fait encore l’arrière gauche totalement usé pour être inefficace. Quel avenir peut-on imaginer avec une défense amorphe, fébrile ? Quel intérêt à continuer à faire appel à un Brigui en fin de parcours ? Bref, la critique à l’égard de Chiheb Ellili est acerbe. C’est dire si le public et toute la famille étoilée sont bien remontés contre l’entraineur qu’ils désignent comme responsable de la situation du club.