La meilleure façon de danser…

Il paraît qu’il faut y aller « francs du collier ». Qu’à cela ne tienne. Ce n’est pourtant pas si simple… Ou plutôt c’est tellement simple qu’il n’y a pas besoin d’en rajouter dans le détail. C’est vieux comme le monde : les politiciens ne sont pas des enfants de choeur, ou alors ça se saurait. Et ça rendrait le jeu, un tantinet moins amusant alors que l’on a besoin de se « désennuyer » par les temps qui courent. Ou pas ? Surtout lorsque l’enjeu est majeur et là il est de taille ! Excluons les très rares exceptions qui ne confirmeront jamais la règle et penchons-nous sur le pain quotidien de nos politiques en période électorale. Pour nous assurer, si besoin est, qu’il y a vraiment à boire et à manger. Juste pour savoir, s’il n’y a pas moyen de faire autrement. Jouer à la loyale par exemple. Non ? Ce n’est pas très gai. Changer les règles et y aller au mérite ? Non plus ? On aura essayé…

Lorsque quelqu’un est au-dessus de la mêlée, il dérange forcément. Il met même les nerfs à vif parce qu’il n’y a pas de prise. Comment érafler son image ? Comment le faire tomber de son piédestal ? Comment le faire tomber tout court ? En lui inventant une histoire qui n’est pas la sienne. Où l’on pourra tout trouver, sauf, la vérité. Il est vrai que la vérité dérange et qu’elle dérangera toujours. Et puis il faut se souvenir qu’il faudra se tenir à distance égale. De quoi ? A chacun sa perspective, c’est cela l’enjeu. Alors pour la distance égale, il est permis de repasser, ça sera pour une autre fois. Par contre, on hésite : entre casser du sucre et pratiquer un fayotage intensif, qu’est-ce qui serait plus solvable ? La « brosse à reluire », ou l’uppercut au-dessous de la ceinture ? Qui a dit qu’il faut toujours, pour départager sur les questions essentielles, choisir la troisième alternative ?

On avait dit « francs du collier » : Abdelkrim Zbidi est au-dessus de la mêlée. Le reste…