La contrebande fleurit et plus de 15 mille cahiers saisis
La campagne menée, mardi, par les équipes de contrôle auprès des librairies et commerçants des fournitures scolaires a donné lieu à la saisie de 24 250 pièces de fournitures scoclaires d'origine inconnue et non conformes aux normes, a fait savoir mercredi, la direction de la qualité et de protection du consommateur au ministère du Commerce.
Et d'ajouter que ces pièces ont été retirées des librairies et des marchés, expliquant que 50 équipes communes entre les ministres du Commerce, de l'intérieur et de la Santé ont été mobilisées pour cette campagne. Ils ont révélé des pratiques en parfaite contradiction avec le système et les conditions de vente du cahier subventionné, ce qui a entraîné la saisie de 15 120 cahiers subventionnés après confirmation de leur vente au public à des prix élevés ou leur exploitation dans la vente conditionnée.
Le nombre d'infractions économiques relevées, mardi, a atteint 231 infractions relatives essentiellement à la possession de marchandises d'origine inconnue, le non affichage des prix, le camouflage de marchandises, la vente conditionnée et la vente de produits non conformes aux normes, lit-on dans le communiqué. Le baiser continue d'enflammer les réseaux sociaux.
Le 25 août, en plein G7, à Biarritz, Melania Trump, la plus mystérieuse des First ladies américaines, a démontré qu'elle n'était pas insensible au charme du Premier ministre canadien Justin Trudeau. Plus galant, pour ne pas séduisant, que son époux Donald Trump, qui l'a hélée comme un chien devant des photographes, quelques jours plus tard, il est vrai. Malgré les rumeurs de contrat de mariage renégocié, les faits sont pourtant là : les actuelles locataires de la
Maison Blanche sont mari et femme depuis bientôt 20 ans. Depuis leur rencontre en 1998, on n'a même jamais vu Melania au bras d'un autre homme, si ce n'est leur fils Barron, aujourd'hui âgé de 13 ans. Interrogée par l'édition américaine du Vanity Fair sur la vie sentimentale de la Première dame avant sa rencontre avec le président, son ex-porte-parole Stephanie Grisham assurait en 2017 que "son intense emploi du temps en tant que mannequin" ne lui avait pas permis d'entretenir de relations. Réponse habile, quoique peu crédible, aux déclarations d'un certain Jure Zorcic devant les caméras de la chaîne ABC, un an plus tôt, en 2016. Ce Slovéne affirmait en effet avoir été le petit ami de Melania Trump, au tout début des années 1990, avant qu'elle n'émigre aux Etats-unis.
Leur rencontre, en 1991 ? Pour Jure Zorcic, "c'était comme dans un film. C'était un jour d'été très chaud, entre deux conflits en Slovénie. Nous entamions une nouvelle ère politique. La ville était circonscrite par l'armée. Je roulais en moto, quand je l'ai vue descendre une rue à pied. Quand je l'ai croisée, je me suis dit : 'Wow, qui est cette fille? Elle est trop belle, il faut que je fasse demitour pour lui parler'." La relation n'aurait duré que quelques mois, ponctuée par une escapade en Croatie. Si l'amérique n'occupait pas encore les pensées de Melania, "ellevoulait vivre à l'étranger, en Italie, en France, et mener une vie dans le milieu de la mode." La future First lady annoncera d'ailleurs son départ pour les Etats-unis à son petit ami, comme s'il s'agissait d'un simple voyage d'affaires : "Elle m'a dit qu'une compagnie de produits capillaires la voulait pour une campagne et elle est partie." Petite phrase préfigurant sa réputation de tueuse.
Les ex-amants se seraient retrouvés à New York, au début des années 2000. Melania fréquente déjà Donald Trump ; elle parle, s'habille et vit comme une Américaine. Terrible désillusion pour Jure Zorcic, qui doit échanger avec elle en anglais : "Je lui ai demandé si elle avait oublié qu'elle était slovène. Elle m'a répondu qu'elle passait la plupart de son temps entre New York et Fort Lauderdale, en Floride, et qu'elle ne reviendrait jamais en Slovénie."
Des propos aussitôt démentis en bloc par Hope Hicks, la porte-parole de Donald Trump, auprès du Daily Mail : "Encore une personne qui essaie de se faire de la publicité sur le dos de Madame Trump. Les faits ne sont pas avérés." Mystère, mystère...