ILS ONT DIT:
« La série des 0 cas du COVID-19 (SARS-COV-2) a fini par être brisée puisque plusieurs nouveaux cas entrants de la maladie ont été enregistrés en Tunisie, notamment le dimanche 14 juin 2020. Faut-il s’en inquiéter ? Risque-t-on de voir le virus se propager à nouveau après la réouverture des frontières du 27 juin 2020 et de subir, ainsi, une nouvelle vague de contaminations ? Personne ne peut prédire la probabilité. Le COVID-19 existe encore dans d’autres pays, ce qui signifie que le risque de contamination est encore réel. Il est, de ce fait, important de respecter les consignes sanitaires, notamment au niveau des voyageurs. Dans ce même contexte, les Tunisiens rapatriés sont appelés à faire preuve de responsabilité et à se conformer aux consignes sanitaires. La Tunisie est presque sans nouvelle contamination locale. De ce fait, il est important de mettre l’accent sur les voyageurs ».
Dre Jalila Ben Khelil (Membre de la commission nationale de lutte
contre le COVID-19)
« Depuis l’apparition de l’épidémie, la Chine a adopté des principes d’ouverture, de transparence et de responsabilité. Elle a veillé à communiquer, en temps opportun, les informations sur l’épidémie à la communauté internationale. Face à cette menace pour la vie et pour la santé humaine, la communauté internationale est appelée à être solidaire, à abandonner les préjugés et l’arrogance, à s’abstenir de rechercher des boucs émissaires ou des artifices égoïstes et à éviter la stigmatisation et la politisation de la pandémie. Qu’il s’agisse de stopper la propagation du virus ou de faire face à la récession économique mondiale, la situation requiert la solidarité et la coopération de la communauté internationale, ainsi que l’adhésion au concept de multilatéralisme et de la communauté d’avenir pour l’humanité toute entière. Nous avons la ferme conviction qu’à la faveur des efforts conjoints de toutes les parties, l’humanité sera en mesure de vaincre l’épidémie dans les plus brefs délais ». Yuan Lijie (Chargée d’affaires de l’ambassade de Chine)
« Attayar a construit sa place en politique avec des slogans creux. Ce qui s’est passé est une honte mais c’est ça leur niveau, pour ce qui est de Becher Chebbi, il est de notoriété publique qu’il baigne dans la fabrication des dossiers et il est celui qui se charge des basses besognes du parti des frères. Samia Abbou me voue une haine gratuite. C’est une femme qui est tombée dans la politique par le hasard des choses. Elle devrait remercier Ben Ali parce que sans lui elle serait restée dans l’ombre. L’affaire de Mohamed Abbou, son séjour en prison pour des faits qu’il a lui-même avoué avoir commis, ont jeté la lumière sur ce couple qui en a profité pour bénéficier des dons et programmes de l’étranger. Quant aux dossiers qu’elle prétend détenir, qu’elle vienne les montrer. Je lui ai demandé de m’affronter dans un débat télévisé, mais elle a refusé ». Abir Moussi (Présidente du PDL) « La Tunisie a vécu aujourd’hui un moment crucial de son histoire car les conspirateurs, larbins de l’egypte et des Emirats ont échoué et ont été humiliés par le boycott de leur action. Il est aujourd’hui certain que des pays et même des médias gouvernementaux sont derrière ces tentatives de déstabiliser le pays en incitant les citoyens à la haine et au conflit. Il devient impératif de prendre une position ferme face à ce qui se produit et de prendre des mesures diplomatiques, administratives et légales contre ceux qui sont impliqués dans ces complots, qui incitent et violent la souveraineté nationale. Mon conseil aux dirigeants de l’égypte et des Émirats, économisez votre argent et l’effort que vous déployez contre notre peuple pour sauver votre peuple de la pauvreté, de l’analphabétisme et des maladies, pour libérer le Sinaï et récupérer un peu de votre dignité ». Noureddine Bhiri (Chef du bloc parlementaire d’ennahdha)
Ces déclarations ont été accordées à différents médias