La Centrale de Hached…
Ceux qui mènent la danse, aujourd'hui à L'ARP, n'ont pas vraiment les mains blanches. Et leurs “casseroles” font un tintamarra du diable, sur l'asphalte, qui supporte difficilement, du reste, leurs gros sabots sur ses pavés.
Non, le pays n'a pas la mémoire courte. Et il connaît ses patriotes sur les bouts des doigts. Il les connaît. Et il ne risque pas de se tromper, car, par contre, ses ennemis, qui ont troqué un autre “costard” après la révolution, pour être dans l'air du temps, gardent, dans les plis de leurs nouveaux habits, une odeur de moisi et de pestilence, qu'aucune fragrance au monde, fut-elle, des plus cotées, ne saurait effacer. Aujourd'hui, ils s'en prennent à la Centrale de Hached. Bien évidemment: elle les gêne aux entournures. Dans la mesure où elle représente, tout ce qu'ils ne sont pas, tout ce qu'ils ne seront jamais. C'est à dire de vrais patriotes. De ceux qui ont “mouillé” leur chemise dans plus d'un combat, pour que le pays en sorte grandi. De ceux qui n'ont pas abdiqué hier, n'abdiqueront pas aujourd'hui, et sûrement pas demain, de ce qui fait et fonde, les valeurs de la République. De ce qui fait, nul doute, la grandeur d'un pays.
Ceux qui s'en prennent à la centrale syndicale, eux par contre, n'ont de cesse de défaire, tout ce qui a toujours fait justement, la grandeur du pays. Sa souveraineté, sa dignité, et tout ce qui constitue ce socle commun, qui soude des individus, autour d'un même drapeau, qu'ils reconnaissent pour leur, et dont ils ne détourneront jamais le regard. Quoiqu'il advienne, ils savent qu'ils appartiennent à jamais à cette terre, à ce terreau, qu'ils doivent défendre par tous les moyens, possibles et imaginables, contre les ennemis de la patrie. Pas besoin de faire un dessin: ceux-là se reconnaîtront aisément, par le fait qu'ils regardent, en réalité, un autre drapeau. Qui n'est pas celui de leur pays.
La Centrale de Hached, et peu importe que bien de l'eau, ait coulé sous les ponts, demeure fidèle à l'esprit de ses martyrs. Ceux qui sont tombés pour leur pays. Cuexlà n'étaient pas à vendre. Au plus offrant…