Les atouts secrets du robot cuiseur
• Faire un jus : là, il est champion. J’y prépare un jus de persil en faisant bouillir dix minutes du persil dans de l’eau, puis j’ajoute un roux. Je blanchis mon jus vert directement dans le robot, ce qui me permet d’aller plus vite et de ne pas utiliser deux casseroles.
• Préparer un sabayon : avec un robot cuiseur, c’est inratable. Je place tous mes ingrédients dans le bol avec les oeufs, je chauffe et je monte à l’huile d’olive. À la casserole, c’est compliqué car il faut rester à 60 °C en permanence et manier le fouet en faisant des huit pour atteindre toute la préparation et pour que ça ne cuise pas trop… Si on se relâche un peu, c’est la catastrophe, on a vite fait des oeufs brouillés ! L’avantage du robot, ici, c’est le réglage de la température au degré près et la régularité des mouvements du fouet. Variante salée : je prépare un sabayon persil et basilic…
• Faire une chapelure : de tomates, par exemple. C’est simple, je verse dans le bol les tomates que j’ai préalablement épépinées et séchées au four. Il faut attendre que ce soit bien sec. Puis je mets un tour de mixeur et… c’est fini ! J’y ajoute parfois des feuilles de verveine. Avec des gambas, girolles sautées et une compotée d’échalotes et rhubarbe, c’est magnifique. D’autant que j’utilise ensuite le bol pour réaliser un jus de tomates anciennes et pêches blanches, bien acidulé.