Michel Chapoutier détient toujours le record de 100/100 chez Robert Parker, une bonne trentaine…
Je respecte beaucoup Robert Parker, mais est-ce une finalité en soi d’aller chercher les 100/100 Parker ? Je m’intéresse davantage à l’harmonie, à l’équilibre et à la dimension terroir du vin. N’oublions pas aussi que le climat évolue. Ce qu’on pouvait faire à une époque en termes d’extraction et d’élevage a bien changé. Les gens cherchent des vins moins démonstratifs et plus élégants, avec un potentiel de vieillissement.