« Cible d’un grand nombre de traumatismes, vos doigts sont mis à rude épreuve. »
est d’englober l’ensemble de la phalange avec la possibilité d’ajuster la tension à chaque tour et de répartir celle-ci à chaque niveau.
Déchirez une bandelette représentant un tiers de la largeur du rouleau soit environ 1 cm (une largeur de 4 cm divisée par trois, donc 1,33 cm pour les pointilleux, mais pas besoin de mesurer précisément !) et d’une longueur d’environ 20 à 30 cm en fonction de l’épaisseur de votre doigt (vous savez ce qu’on dit : gros doigts = grande longueur).
Enroulez la spirale autour de la phalange du doigt lésé en partant de l’extrémité distale (vers le bout) et en revenant vers la base du doigt par plusieurs tours. Chacun d’eux chevauchant partiellement le tour précédent.
Pour être utiles, les bandelettes doivent être
La troisième et dernière bandelette peut être plus large (deux tiers de la largeur du rouleau, soit environ 2,5 cm) et surtout plus longue. Elle s’enroule par-dessus les deux autres, depuis la deuxième phalange jusqu’à la base de la première, par chevauchement spiralé identique. Elle immobilise le doigt en extension partielle. Le doigt doit pouvoir fléchir d’environ 20 à 40°, mais pas plus, après assouplissement du strapping.
c’est l’inflammation de la gaine synoviale du tendon fléchisseur du doigt. Le but sera de soulager cette gaine des frictions qui s’opèrent lors des efforts de flexion, ces derniers étant majorés en position arquée. On cherchera donc également à empêcher cette position. Si les buts sont partiellement différents, le strapping reste le même que pour la poulie, cependant il pourra être porté moins longtemps et la grimpe en préhension tendue, si elle n’est pas douloureuse, pourra être autorisée.