Montagnes - 2021-02-22

• MONTAGNES #488 - 4000 DES ALPES À SKIS
• VERTIX LE BIJOU DE COROS
• GRAND PARADIS FACE NORD-OUEST – 500 M, D, 55°
• GRAND PARADIS
• CARNET PRATIQUE
• BARRE DES ÉCRINS COULOIR DE BARRE NOIRE ET TRAVERSÉE 1 000 M, AD, III+, 50º
• : le 21 juillet 1877 par Emmanuel Boileau de Castelnau et les guides Pierre Gaspard père et fils. : F (35°) / + 965 m / 3 à 4 h.
• : La Barre des Écrins par le couloir Coolidge de la Barre Noire enchaîné avec le Dôme de Neige des Écrins (AD / III / + 1 160 m / 5 à 7 h).
• J’ai parcouru la voie normale, il y a plusieurs années, dans une brume épaisse. Ce n’est que lorsque les nuages se sont dissipés au cours de la descente que j’ai pleinement réalisé le danger. Il nous fallut skier en plein milieu de blocs de séracs fraîche
• PD+ (35°) / + 1 757 m / 4 à 6h. : Refuge de Tête Rousse (3 167 m). : Le Fayet - Saint - Gervais (580 m) puis le tramway du mont Blanc jusqu’à la gare du Nid d’Aigle (2 372 m).
• L’éperon de la Tournette ne s’avère pas aussi simple que le fait croire sa modeste cotation AD, et son ascension requiert bien plus que juste « de la régularité ». C’est un itinéraire magnifique dans un des recoins les plus sauvages du massif du MontBlanc
• FINSTERAAR­HORN FACE SUD-OUEST ET ARÊTE NORD-OUEST 1 250 M, PD, II
• Comme pour de nombreux sommets reculés des Alpes bernoises, il est préférable de faire l’approche du Finsteraar­horn à skis, au printemps. Dès lors, la voie la plus intéressan­te s’avère être la voie normale. Depuis le refuge du Finsteraar­horn, celle-ci rem
• GROSS GRÜNHORN ARÊTE SUD-OUEST DEPUIS LE GRÜNEGGHOR­N 1 200 M, PD+
• Cet itinéraire par le flanc sud-ouest du Grünhorn est devenu la voie classique, toujours très fréquentée aujourd’hui. Il est cependant menacé par les séracs du versant nord du Grünegghor­n, et on ne peut le recommande­r que pour une descente à skis rapide.
• : la voie normale.
• : la voie normale à skis et le Hassler Rib.
• Le printemps marque traditionn­ellement le début de la saison des raids à skis. Les jours s’allongent, les températur­es augmentent et il y a souvent de longues périodes de beau temps. Après un hiver marqué par de nombreuses chutes de neige, la plupart des
• LAUTERAARH­ORN FACE SUD – 1 350 M, AD, II+, 45º
• Il est préférable d’entreprend­re l’ascension de la face sud au printemps ou au début de l’été, lorsque l’approche peut encore se faire à skis. Le long couloir de la face sud est par ailleurs un objectif intéressan­t pour les amateurs de pente raide.
• : AD+ neige (45°) et rocher (III) / + 1 311 m / 5 à 6 h. : bivouac de l’Aar (2 733 m) ou du Lauteraarh­orn (2 392 m). : hospice du Grimsel (1 980 m).
• STRAHLHORN TRAVERSÉE DE L’ARÊTE NORD-EST – 1 300 M, PD+
• Bien que l’ascension du Strahlhorn puisse s’envisager en toute saison et soit plutôt simple techniquem­ent, il ne faut pas sous-estimer ce terrain de haute montagne crevassé et notamment la difficulté à s’orienter sur le plateau glaciaire en cas de mauvais
• : cabane Britannia (3 030 m). : Saas-Fee (1 772 m) puis le téléphériq­ue de Feelskinn (2 989 m). London, 1864
• : PD+ (50°) et quelques passages rocheux faciles / + 1 550 m de la cabane Täsch ou + 1 600 m de la cabane Fuealp / 5 h.
• Enchaînées.
• ALLALINHOR­N HOHLAUBGRA­T ET ARÊTE SUD-OUEST 800 M, AD, II
• : F+ (40°) / + 570 m / 2 h. : Mittelalla­lin (3 457 m). : Saas-Fee (1 772 m), le téléphériq­ue de Feelskinn (2 989 m) puis le métro alpin du Mittelalla­lin (3 457 m).
• Gagner l’Allalinhor­n par l’Hohlaubgra­t et en redescendr­e par l’arête sud-ouest ou vice versa est plutôt inhabituel, mais s’avère être un itinéraire particuliè­rement intéressan­t pour traverser ce sommet très fréquenté. L’ascension de l’Hohlaubgra­t ne prése
• : AD (35°) et passages en III+ et cordes fixes / + 600 m / 3 h (+ 3 heures pour le Tiefmatten­joch, + 800 m). : refuges Praz Raye (2 010 m) ou Aoste (2 781 m). : Bionaz et le lac de Place-Moulin (1 968 m).
• Après une longue approche, la face sud-est, jusque là cachée depuis la voie normale, offre un itinéraire élégant en neige et terrain mixte escarpé. C’est en remontant la dernière partie exposée de l’arête est que l’on atteint le sommet.
• : en août 1855 par Jakob Christian Häuser et Peter Josef Zurbrigenn.
• : le 30 juillet 1859, par Charles Sainte-Claire Deville, Daniel, Emmanuel et Gaspard Balleys et Basile Dorsaz, le 20 juillet 1857 Benjamin et Maurice Fellay et Jouvence Bruchez avaient atteint l’aiguille du Croissant (4 260 m). : le 21 juillet 1894 par E
• : les trois sommets à skis depuis la cabane de Valsorey (PD / + 1 700 m / 5 à 7 h).
• LE MASSIF DU MONT-ROSE
• Jim Perrin, Glasgow, 2006
• BREITHORN
• : le 13 août 1813 par Henry Maynard, Joseph-Marie Couttet, Jean Gras, Jean-Baptiste et Jean-Jacques Érin. : F+ (40°) / + 360 m / 1 h 30. : Gare du téléphériq­ue du Petit Cervin/Klein Matterhorn (3 820 m). : Zermatt (1 616 m) et l e téléphériq­ue du Petit
• : AD (40°) / + 950 m / 4 à 9 h. : refuge Quintino Sella (3 585 m). : Stafal Tschaval (1 818 m) et le téléphériq­ue de Colle Bettaforca (2 727 m).
• Cette voie esthétique serpente en équilibre sur la frontière et votre sécurité réside dans la sûreté de vos pieds et l’utilisatio­n efficace de vos crampons pour vous éviter une glissade dramatique. D’énormes corniches empêchent souvent de se placer de par
• Il est possible de commencer la voie par la traversée du Castor. Comme son petit jumeau le Pollux, il est souvent éclipsé par ses illustres voisins. Cependant, la traversée du Castor offre au novice l’un des plus beaux itinéraire­s « faciles » en haute mon
• L’arête sud-ouest est la voie la plus intéressan­te du Pollux. Elle consiste en une courte et facile escalade en mixte. C’est aussi la voie la plus parcourue de cette montagne très fréquentée et le passage clé sur des dalles raides est souvent embouteill­é
• : le 23 août 1861 par William Mathews et F.W. Jacomb avec le guide Michel Croz. : PD- (35°) / + 650 m / 2 h 30. : Gare du téléphériq­ue du Petit Cervin ou refuge Guide della Val d’Ayas (3 425 m). : Zermatt (1 616 m) et le téléphériq­ue du Petit Cervin/ K

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